metaculture et opositions

je vous propose de determiner les mots et les expressions permettant la resolution du systeme metaculturel/metapolitique

un coup de fievre sans doute

moi je n'y comprends rien, c'est incompatible avec mon metabolisme

mais c'est mon jour de bonté et je vais faire un effort

Citation :

les coutumes et les croyances, les rites et la mythologie, permettent (...) d'alimenter et d'abreuver un systeme politique et son execution , les lois.

J'ai l'impression (mais pas la certitude) que l'idée sous-jacente est que, pour Mathusalem, le fondement de tout serait le système de croyances et pratiques associées (premier terme de la citation), d'où se déduirait "un fondement moral et éthique très précis", à partir duquel se construirait à son tour l'organisation politique et une dimension culturelle "qui peut être très vague", et même tellement que là je ne sais plus où j'en suis.

bref, le matérialiste que je suis n'est pas à l'aise avec cela.

sur la question des croyances et pratiques associées tout d'abord, parce que je porte plus crédit aux thèses des anthropologues évolutionnistes (Pascal Boyer, Scot Atran, Daniel Baril, etc.) ou à celles des psychologues évolutionnistes (récemment Bruce Hood, etc.) pour réfléchir à leur émergence, et aux neurosciences et sciences cognitives pour y voir un peu plus clair.

sur la question de la morale et de l'éthique, autrement dit de la base de nos comportements sociaux, je pense que Mathusalem pose la charrue avant les boeufs en fondant la morale et l'éthique sur les croyances; "nous" étions d'un point de vue chronologique des animaux sociaux avant de développer nos capacités cognitives à ce stade; ainsi, avant de dérouler la dimension de l'hérédité culturelle particulièrement développée dans notre espèce (# propre à), il faut commencer par étudier la phylogénie comportementale avec les autres espèces animales; certains "interdits" exprimés par des lois (ou des codes éthiques et moraux), autrement dit de jure, existent de facto au sein d'autres espèces animales ... sans avoir recours nécessairement à une hérédité culturelle compliquée (l'hérédité biologique pouvant suffire).

En résumé, construire l'échaffaudage de nos pratiques sociales à partir des croyances et pratiques me paraît une approche anthropocentrée erronée.

la metaculture peut etre par exemple definit par l'instinct que connait et procrée une population soumise a une dictature et qui traverse une epoque et un regime avec une ambition , sans pouvoir la cultivé et l'exalter.

Citation :

la verité pour etre precis , est (...) quelque chose de sporadique et ephemere, car elle change et evolue selon les traditions.

illustration



autre illustration (une citation pas encore utilisée par ce pape ) :

Citation :

"Pour peu qu'on ait de disposition à rendre témoignage à la vérité, ou à la reconnaître, il faut convenir que comme il y a une persécution injuste, qui est celle que les méchants font à l'Eglise de Jésus Christ, il y a une persécution juste qui est celle que l'Église de Jésus Christ fait aux méchants. (...)

L'Église ne persécute que par amour, et pour faire du bien; les impies au contraire persécutent par haine, et pour faire du mal; celle-ci pour corriger, ceux-là pour pervertir - celle-ci pour retirer de l'erreur, ceux-là pour y jeter.

Enfin l'Église persécute ses ennemis, et ne cesse point de les poursuivre qu'elle ne les ait atteints et défaits, c'est-à-dire, qu'elle ne leur ait fait mettre bas les armes du mensonge, et qu'elle ne les ait établis dans la vérité; eux au contraire nous rendent le mal pour le bien, et au lieu que ce n'est que pour leur procurer la vie éternelle que nous travaillons, ils cherchent à nous ôter la vie temporelle; ils ne respirent que meurtre et que carnage; et cela va même à un tel excès que quand ils ne peuvent assouvir leur fureur en ôtant la vie aux autres, ils se l'ôtent à eux mêmes.

La charité de l'Église n'a pour but en tâchant de les retirer de l'erreur, que d'empêcher qu'aucun d'eux ne meure et ne périsse; et leur fureur au contraire n'a pour but que de se repaître des meurtres qu'ils exercent sur nous ou sur eux-mêmes, quand elle ne trouve point d'autre matière à s'exercer, comme pour se maintenir, par autant d'actes de possession, dans le droit de tuer qu'ils se sont attribué."

Saint Augustin, Lettre d Augustin à Boniface, Tribun et ensuite Comte en Afrique, sur la conduite à tenir envers les Donatistes, lettre CLXXXV, traduction française de M. Du Bois, 1701

En bref ... je suis désolé, Mathusalem, mais je ne comprends pas ce que tu dis